Voilà, c'est un Rp que j'ai écris sur un autre forum alors si vous ne comprenez pas tout dite le moi, je posterais au fur et a mesure que l'on l'avance.

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PRÉSENTATION

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Northman Éric Caractère: Descriptions: Pouvoirs: Qualités & Défauts:

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Eric Northman & Aïsha Pétrova
L'amour n'est pas toujours rose. Lovestory.

Ton esprit erre sans but hein Éric ? Car depuis que tu as dérapé avec Nika Talemme tu ne sais plus où tu en ai, tu appréhendes la suite des évènements. Mais qu'as-tu fais ? Tu n'étais pas amoureux d'elle, tu avais juste joué avec elle et ça s'est retourné contre toi. Tu n'aurais pas du attendre, c'était stupide et inutile, oh pourquoi ne t'es tu pas encore une fois contenté de la douleur de ta victime ? Pourquoi cette fois ci as-tu voulus lui faire plaisir ? Par ce qu'elle était une magicienne ? Surement. Par qu'elle buvait du sang sans être vampire ? Peut-être. Toujours est-il que tu lui as laissé voir une partie de toi que tu voulais oublier. Ton humanité, ton âme, ta douceur, ta prévenance et ton cœur. Elle a fait trembler ton écrin de glace et toi, tu as pris peur. Le Terrible Éric Northman a pris peur. Qu'elle ironie. Oh et puis Caca ! C'est ce que tu te dis. Car après tout tu ne la reverras jamais, tu vas y faire attention. Et tu vas l'oublier, tu vas refouler ce souvenir tout au fond de toi et l'oublier. Tu sais si bien le faire ça, oublier. Tu te retournes dans ton antre, dans ta tombe. Elle se trouve dans un caveau, une grotte aux parois brillantes, aux mur de diamants. Tu as toujours aimé l'or, les bijoux et les pierres précieuses. Tu as toujours sue où en trouver et c'est pourquoi tu t'es installé là. Cet endroit et parfois. Tu y es à l'abri de soleil, le plafond est haut, et c'est spacieux. Tu t'ennuies, tu n'arrive plus à dormir. Tu as faim, très faim. Pourtant tu as mangé avant de te coucher mais ça remonte à si loin... Soupirant tu te redresses et te mets à marcher en rond. Tes crocs apparaissent, se rétractent et tu rugis de colère, de frustration. Ta rage fait trembler les murs étincelants. Puis, une heure passe, puis deux, puis trois. Enfin tu tends l'oreille et c'est bon. Le soleil est couché...

Tu jaillis de la terre vers le ciel, ton long manteau noir virevoltant dans ton dos tu te dresses tel le Roi Ténébreux que tu es. Tu déploies tes sens, la nuit est à toi. Tu savoures l'air frais sur ton visage, l'odeur de l'humus, de l'herbe coupée. Fier et terriblement beau tu t'avances, statue d'albâtre en mouvements. Les animaux, les proies sur ton passage s'égaillent tandis que les prédateurs s'inclinent. Tu es leur Roi, tu as droit de vie ou de mort sur eux et ils se savent. Ils le sentent. Un sourire cruel étire tes lèvres. Tu lèves la main, rejettes la tête en arrière et cri, un hurlement de loup, trois temps, trois mesures, trois tempos. Bientôt autour de toi les loups se dressent, tournent. Un rictus affamé sur le visage et un éclat rouge dans le regard tu t'élances la meute derrière toi... Tu nez fin renifle. Ce n'est pas très élégant, tu t'en moques. Toutes les senteurs de la forêt te parviennent. Tu choisis celle d'un cerf. Tu cours sur ses traces les loups te suivant pas à pas. Le noble animal lève ses bois, il a senti qu'il est pisté. L'animal secoue sa belle ramure et part au galop sans espoir de survire. Juste celui de ne pas rendre son exécution trop facile, trop rapide. Toi Éric tu t'amuses comme un gosse. Un gosse cruel et affamé. Tes pas son rapides, fluides. Ceux de l'animal le sont tous autant mais il est plus hésitant. Il a peur. Soudain vous débouchez sur une clairière. Le cerf est là. Il se dresse fier et noble. Ses yeux noirs te fixent Éric. Tu ris. Quel courage stupide. Les loups se déploient. Légèrement penché en avant, ton manteau tombe comme des ailes reliées, tu fais peur Éric. Tes yeux bleus brillent d'un éclat glaciale et mortel... C'est d'un mouvement dansant et si vif qu'il ne le voit même pas que tu le mords...Il se débats, tu resserres ta prise, tu bois son sang... Oh que c'est bon ! Tu m'écœures Éric. Le cerf pousse son dernier soupir et tu rejette la tête en arrière, ton visage est couvert de sang. Quand donc apprendras-tu à te nourrir sans te salir ? Tu laisse choir la carcasse, les loups s'avancent, c'est l'heure de la curée...

Tu marche tranquillement, tu es détendus. Ta faim s'est apaisée. Tout comme celle des loups. Bon appétit ! C'est étrange que toi qui ne t'attache à personne soit à ce point attaché de ces loups justement. Tu leur a même donné un nom. Tu les as pris sous ton aile sanglante et ils te considèrent comme l'un des leurs. Tu mange avec eux et vice-versa. Vous vous entendez bien tous. Tu tues pour te nourrir et eux aussi. Tu tues seulement les animaux, pas les humains. Preuve d'humanité ? Non, preuve de bon sens. Ce serais stupide de tuer tout son garde-manger d'un coup. Car après tout le sang humain est le meilleur et s'il n'y en a plus se serais dommage... Tu les laisses donc en vie...pour le moment. Ils ignorent même que leurs existences sont en sursis, qu'elles sont presque entre parenthèses. Tu t'avances, tu marches, tu ne sais pas où tu vas. Tu t'en moques, tu veux juste t'éloigner de cette école : School Magic Pets. Ça sens la cendre, ça sens le feu. Tu n'y prends pas garde, perdus dans tes pensées comme tu l'es tu n'y fais pas attention et puis ensuite c'est trop tard. Tu es cerné par les flammes, tu te métamorphose et le beau viking blond platine laisse place à un immense et imposant cheval noir aux crins rouges...

Tu cours, tu cours et sautes par dessus les flammes, les arbres abattus et mangés par l'incendie.Les loups te suivent et tu les attends, tu restreins tes foulées, tu ne veux pas les distancer, tu veux les sauver. C'est rare chez toi un tel amour pour des êtres qui ne sont pas toi. C'est rare également cette confiance aveugle qu'ils ont mis en toi. Il te suivront jusqu'au bout que tu les mènes vers la Vie ou vers la Mort. Tu ne veux pas les décevoir. Tu veux leur prouver qu'ils ont bien fait. Tu fais donc attention à eux. Poussant du museau ceux qui ralentissent, aidant les plus jeunes ou les plus vieux à franchir un passage périlleux, et puis tu arrives enfin à la rivière. Tu l'as sentis et tu les y as menés. Ils traversent les plus vieux d'abord, puis les plus vieux et enfin les plus forts. Tu te prépares à les suivre quand tu sens une présence humaine. Tu ne résistes pas. Encore perturbé par ta rencontre fracassante avec Nika Talemme tu coures vers cette odeur. Un cri déchire le silence inquiétant du brasier et tu accélères. Tes sabots foulent le sol et le martèlent. Enfin tu arrives sur les lieux. La jeune femme est à quelque pas du brasier. Tu te re-transformes et t'avances. Tu te penches au-dessus d'elle pour vérifier si elle va bien. Tu sais déjà qu'elle est en vie, son cœur bat la chamade... Te prenant par surprise elle se redresse et t'enlace. Elle est terrifiée. Elle te fais penser à un oisillon tombait du nid. Et déjà, tu sais que tu ne pourras plus jamais la laissé partir...Tu la soulève facilement, elle est si légère...et toi si puissant. Tu pourrais la tuer essaiment mais tu ne le feras pas. Tu l'enroules dans ton manteau et t'élances dans le ciel. Puisant dans ton pouvoir faramineux tu t'élèves aux-dessus de la cime des arbres et du feu. En peu de temps tu es arrivé par delà la rivière. Elle est blessée, tu le sens, tes loups aussi. Tu les laisses rentrer chez eux et serrant toujours la jeune femme dans tes bras tu l'emmènes chez toi...le soleil ne tardera pas à se lever et tu ne tiens pas à être dehors...

Tu t'actives...range le plus vite possible ton antre, installe confortablement la blessée sur ton lit, nettoies ses blessures puis saisissant une lame tu t'entailles le poignet et accroupis près du lit puis appuis ta blessure sur le lèvres de la belle brune, machinalement elle boit ton sang. Et, tandis qu'elle boit ton sang ses blessures se referment. Tu soupires de soulagement, elle s'en sortiras. Tu retires ton bras et te lèves. Tu la regardes, tu l'as nettoyée sommairement pensant que si elle se réveillait chez un inconnu en petite tenue elle risquait de s'énerver tu l'avais juste doucement débarbouillée. Elle était belle cette inconnue. Ses cheveux couleur chocolat était étalé sur l'oreiller, ils formaient une auréole autour de son visage. Ils étaient bouclés, de belles grosses boucles brune. Une peau pâle, d'albâtre elle aurait pu être une vampire. C'était une beauté aussi parfaite et élégante que toi Éric. Et soudain elle ouvrit les yeux...ils étaient d'un noir profond...on ne distingué pas l'iris de la pupille...troublant...et troublé tu ne dis mot. Elle te scrute et soudain tu retrouve l'usage de la parole. Tu dis de la voix grave et sensuel qui est la tienne :

« -Bonjour, je peux savoir ce que vous faisiez dans ce brasier dont je vous ais sortis ? »

Tu oublis les convenances Éric. Et ton nom alors ? Mais comme toujours tu ne m'entends pas et donc, ne le lui dis pas. Petit mystérieux va !

Jador ton histoire ^^